Quatrième roman de Bertrand Illegems, L’ombre chinoise distille la fantaisie dans le genre polar.
Quoi de plus tranquille qu’une maison de retraite ? Pourtant, c’est là, aux Herbiers, à la maison de retraite des prètres, que le drame éclate.
Disparitions. Trafics. Cabinet secret. Explosions. Les enquêteurs y perdent leur latin.
Cette histoire débute la nuit du 12 novembre en pleine tempête. Les événements s’enchaînent, tambour battant.
L’ombre chinoise plane.